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Tag: 6 personnalités
Besoin d’être accompagné ?

Comment faire ? Quoi choisir ? PCM ?

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Être accompagné

Trois modes

La vie nous confronte à des situations difficiles à traverser seul. Il peut être pertinent d’être accompagné. C’est autant nécessaire dans l’environnement professionnel que privé. Les deux grandes options classiques consistent à se faire accompagner par un coach ou par un thérapeute.

Pour faire simple, avoir recours à un accompagnement est déclenché :

  • Soit par un besoin de faire un saut dans sa vie
  • Soit pour se libérer d’un dysfonctionnement que l’on a repéré en soi

Il y a un 3ème accompagnement à prendre en considération : le coach-PCM. Faisons l’inventaire de ces 3 options pour éclairer son choix.

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Accompagné par un coach

Choisir un coach

Le coach est sollicité quand une personne bloque face à une situation qu’elle souhaite traverser dans les meilleures conditions ou qu’elle a un projet conséquent à mener ou un objectif à atteindre sans être sûre d’en avoir tous les moyens pour réussir.

Le coach va inviter son client à élargir son regard puis il apportera le sien. Le client et son coach vont recenser les ressources pour gérer la situation. Souvent certaines options étaient ignorées du client ou sous-estimées. Les deux vont aussi qualifier les obstacles possibles et trouver les parades. Ils vont bâtir un plan d’actions et l’ajuster jusqu’à ce que le coaché s’estime en capacité à le faire.

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Accompagné par un psy.

Choisir un psy.

Le thérapeute est plutôt sollicité quand il s’agit d’un problème récurrent que son client (patient) a repéré dans sa vie et qui le met dans l’inconfort ou en échec. Le plus souvent le client vit un sentiment de culpabilité car il devine qu’il est pour quelque chose dans ce qui lui arrive…

Le psy va visiter le passé de son client, l’enfance particulièrement, et repérer les conditionnements qui se sont construits et se traduisent par des limites auxquelles est confronté son patient.

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Les limites du coaching classique

Pour un coaching la situation est cadrée. Un contrat fixe dès le départ les objectifs, un délai et des résultats attendus, les plus mesurables possibles. Au bout de 5 ou 7 séances, le contrat est rempli ou pas. Si le contrat n’est pas rempli, c’est presque toujours la responsabilité du coach car c’est lui le professionnel. Son défi, c’est d’aider son client à trouver un plan d’actions sans connaître tous les mécanismes comportementaux de son client.

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Les limites de l’accompagnement par un psy

En thérapie, le symptôme comportemental est le plus souvent bien défini au départ.

La compétence du thérapeute est large dans son domaine mais il cherche à découvrir l’évènement d’origine qui a conditionné son patient. Cette investigation requiert du temps. L’accompagnement peut s’étaler sur des années. Le patient peut ressentir une urgence incompatible avec le suivi proposé.

Le patient n’a pas de garantie de résultat.

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3ème accompagnement : le coach-PCM

Choisir un coach-PCM

Le coach PCM est au départ coach à la même enseigne que les autres coachs. En plus il est certifié PCM, un modèle qui attribue un potentiel de 6 personnalités à chacun de nous. Dès la 1ère séance le coach identifie laquelle de ces six Personnalités est active dans la situation à traiter. Grâce à cette seule qualification le coach dispose du comportement de son client, de ses atouts, de ses freins, de ses manières d’entrer en stress, de ce qui le motive ou le démotive… dans la situation à traiter.

Après moins d’une demi-heure, grâce à PCM, le coach dispose des mécanismes de réussite, d’échecs, des atouts, des fragilités de son client – il le connaît déjà presque mieux que son client ne se connaît lui-même. Il est d’autant plus vite au cœur du sujet avec son client qu’il gagne en temps d’investigation. Le client ne peut qu’accorder davantage sa confiance à quelqu’un qui le comprend aussi vite et qui saura lui donner les clés pour compenser ses fragilités.

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Et le conditionnement de l’enfance ?

Peut-on faire l’impasse d’investiguer l’enfance ?

Est-ce que la connaissance de PCM du coach est suffisante pour traiter tous les sujets ? « Oui ».

Quand il est fait appel à un accompagnement c’est qu’un évènement s’est mis sur le chemin du client. C’est cet obstacle ou ce défi qu’il faut dépasser. Le coach et son client vont élaborer un plan d’actions qui bouscule le conditionnement (éventuellement construit dans l’enfance). Cette nouvelle expérimentation que va faire le client dans sa vie de tous les jours, va s’inscrire sur son « disque dur » et ouvrir à des comportements nouveaux, d’autres manières de voir le monde.

Dans la phase finale de la séance, le coach s’assure que son client sera à l’aise pour mener le plan d’actions qui, par définition, est différent des options qu’il mettait en place jusqu’à présent. Dans la séance suivante, le coach fera raconter à son client son vécu, le vécu de ses interlocuteurs. Cela dans le but que cette nouvelle programmation s’inscrive dans sa dimension émotionnelle et remplace le conditionnement limitant, objet de la demande d’accompagnement.

Si le sujet est de nature psychologique récurrent, cela se révèle très vite. S’il s’agit de répondre à un traumatisme brusque (agression) la « thérapie brève » peut être une excellente réponse. Faire appel à un psy sera judicieux. C’est une ressource à prendre en compte.

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Est-ce que le coach dispose de tout ce dont il a besoin ?

« Oui » il est sage de ne traiter que les limites révélées par les situations auxquelles on a à faire face. Le coach-PCM dispose d’atouts qu’il maîtrise comme le scénario de vie et la Question Existentielle de la Personnalité PCM concernée.

Le modèle PCM n’a pas besoin de prendre en compte la totalité des conditionnements du client. La modélisation qu’a produit le Dr Taibi Kahler s’inscrit dans le principe 80/20. Le Process Communication Model propose 20% des conditionnement existants. Ils couvrent 80% ou plus des croyances limitantes. C’est une démarche d’efficacité.

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Le coach-PCM

Spécificité du coach-PCM

Sa compétence PCM complète sa compétence de coach. PCM apporte une grille de lecture du potentiel et des limites de la Personnalité que présente son client face à la situation objet du coaching.

Cela lui donne un avantage de vitesse et une plus grande disponibilité pour écouter, découvrir et qualifier les solutions possibles avec son client.

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Epilogue

Le client n’a pas besoin de connaître PCM pour bénéficier d’un coaching-PCM. S’il connaît le modèle, il pourra mieux se connaître.

Bénéficier d’un coach-PCM est un atout de réussite dans un délai court.
Le psychothérapeute reste une ressource pour traiter des sujets plus intimes qui ne seraient pas du domaine de compétence du coach.

Certains psychothérapeutes sont formés à PCM. N’oublions pas que le créateur du modèle, le Dr Taibi Kahler, est psychothérapeute 😉.

Christian Becquereau
Assisté de Sylvie Nélaton

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Le mystère du relationnel

Qui n’a jamais observé qu’il accordait un relationnel différent selon son interlocuteur, sans adopter un quelconque jeu de rôle. Cela se produit sans action volontaire. Comme s’il y avait un pilote automatique en nous qui décidait sans nous demander notre avis. C’est curieux, intrigant. C’est le mystère du relationnel. C’est quoi cette histoire ?

  • Bien des parents agissent différemment selon leurs enfants. Les enfants s’en rendent compte. Ils peuvent en être heureux ou en souffrir.
  • Avec certains de nos amis, nous aimons refaire le monde ; avec d’autres tout est prétexte à plaisanter, avec d’autres encore nous sommes simplement bien, sans besoin de leur dire.

Dans chacune de ces situations, nous sommes la même personne et en même temps nous ne sommes pas la même… Existe-t-il un modèle qui offre une explication de ce phénomène ? Sans explication :

  • Comment prétendre bien se connaître soi-même ?
  • Comment agir pour obtenir le meilleur relationnel avec ceux qui nous entourent ?

Nous voyons là que le relationnel contient sa part de mystère et qu’il est intéressant d’en connaître les arcanes.

 

Comment PCM fonctionne-t-il ?

Process Communication Model® ou PCM est le 1er modèle à avoir répondu aux questions ci-dessus de la manière suivante :

En chacun de nous, nous avons comme 6 personnalités. En fonction de notre interlocuteur, l’une d’elle s’active automatiquement, indépendamment de notre volonté. Il en est de même chez nos interlocuteurs. Cela éclaire les situations apparemment complexes tant qu’on ne dispose pas du décodeur Process Com.

Chacune de ces 6 personnalités a sa spirale de réussite, sa vrille de stress, ses qualités spécifiques, etc.

 

Le relationnel dans la vie

Prenons un peu de recul pour évaluer l’impact du relationnel et le rôle qu’il joue dans notre vie. Voici quelques questions avec des débuts de réponse :

  • Quel est le véhicule privilégié de la chance ?

C’est souvent quelqu’un qui nous apprécie et nous ouvre des portes ! (fruit du relationnel)

  • Qu’est-ce qui nous empoisonne le plus l’existence et consomme notre énergie ?

Les relations exécrables, les incompréhensions, les tensions, les conflits…

  • Quels sont les moments parmi les plus agréables, les plus mémorables ?

Ceux passés avec des personnes avec qui le relationnel est facile.

Ce coup de rétroviseur révèle la place omni présente du relationnel dans les différents moments de notre vie. C’est dire le rôle majeur du relationnel et le bénéfice à en tirer au quotidien en disposant d’un outil adapté. Il y a du sens à en faire une priorité ; chacun verra. Notre qualité relationnelle avec nos interlocuteurs détermine notre sensation d’avoir une vie avec du bonheur, de la chance, de la réussite, une vie agréable et bien remplie.

 

PCM et le stress

PCM aurait de multiples modèles concurrents. Regardons ce sujet. La plupart des modèles ne décrivent que des traits de caractères et s’arrêtent là. Rien, aucun outil, aucune technique ne sont proposés pour agir sur le relationnel. Ces modèles se limitent à 4 profils ce qui génère des caricatures, amusantes mais peu exploitables au quotidien.

Presque aucun modèle ne prend en compte les différentes formes de stress. Or c’est une clé. Aucun n’offre des techniques pour établir ou rétablir un relationnel. Ce sont là quelques éléments qui orientent le choix vers le modèle Process Communication. En fait, la plupart des autres modèles sont limités au développement personnel. C’est intéressant mais cela n’aide pas à améliorer son relationnel. Or c’est le relationnel qui change la vie.

Pour choisir un modèle, trouvez la description du modèle pour lequel vous hésitez et posez-vous ces questions :

  1. Est-ce que cet outil met en avant les différentes formes de stress (facteur des mauvais relationnels)
  2. Est-ce que ce modèle propose des antidotes pour baisser le stress de l’interlocuteur ?
  3. Est-ce que la finalité du modèle est d’améliorer son relationnel avec quiconque ?

Rien qu’en répondant à ces 3 questions, il ne reste que PCM.

 

Notre 3ème livre

Le côté outil concret du modèle PCM oriente le choix de sa formation. Nos 2 livres « Process Com pour les managers » et « La Process Com », se distinguent par le partage de comment on met en pratique PCM. Comme dans nos formations, nous privilégions l’expérimentation de la mise en pratique. Même si vous connaissez déjà le modèle, c’est un gain d’efficacité de participer à ces formations de mise en pratique du modèle.

Nos 2 premiers livres sont orientés « mise en pratique de PCM ». Dans ces livres Sylvie et moi nous partageons nos travaux de R&D autour de ce modèle. Ce modèle est génial mais le praticien a besoin d’outils et de techniques pour faciliter son usage. Notre trentaine de techniques sont regroupées sous le label « Process-Relationnel® ». Sans ces techniques, la plupart des participants arrivent difficilement à utiliser PCM pour leur relationnel.

Quand une relation n’est pas idéale, c’est qu’un des interlocuteurs est en stress. Pour améliorer la relation il faut 2 choses :

  • Identifié le stress spécifique de l’interlocuteur
  • Maîtrisé l’antidote du stress pour le baisser.

C’est fantastique, ça marche. Grâce à la trentaine de nos techniques (Process-Relationnel) les milliers de participants que nous avons formés savent faire. Mais il possible d’aller plus loin. C’est l’objet de notre 3ème livre.

 

Une découverte inattendue

Notre 3ème livre semble prendre une option différente de nos 2 premiers livres. Son titre « Lâchez les comportements qui vous jouent des tours » – le sous-titre, c’est (Process Communication Model en développement personnel). Qu’en est-il ?

Au cours de nos 25 ans de coaching nous avons découvert une chose surprenante : la plupart de nos travers proviennent de nos qualités. Vous avez bien lu « la plupart de nos travers proviennent de nos qualités ». Cette étonnante nouvelle est à l’opposé de ce que les spécialistes nous affirment depuis des décennies en nous invitant à travailler sur nos défauts. C’est une fantastique nouvelle car il est beaucoup plus facile d’agir sur ses qualités que sur ses défauts.

Si dans une relation, nous sommes capables de baisser le stress de notre interlocuteur et qu’en plus nous nous sommes débarrassés des travers qui polluent nos relations, nous mettons toutes les chances de notre côté pour un relationnel d’exception.

 

Convoquer la réussite

Dès la naissance un certain nombre de choses sont jouées d’avance… de par le milieu social de notre naissance, du pays, de notre potentiel, de l’hérédité, etc. Mais si nous observons ceux qui réussissent, ils ont tous un très bon relationnel, et, cela s’acquiert… S’investir dans un modèle comme PCM s’apparente à convoquer la réussite et la chance.

Christian Becquereau

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