Il est probable que vous ne connaissiez pas l’image que vous attribue votre entourage. Ces images ont des conséquences bénéfiques ou désastreuses, ça dépend… Comme vous les ignorez, vous ne menez aucune action pour les prendre en considération. La qualité de votre vie se retrouve ballotée comme si vous la jouiez à la roulette russe.
Votre chance
Quelquefois il vous arrive de vous dire : « sur ce coup-là je n’ai pas eu de chance ! » ou bien « ce n’est pas juste, cela aurait dû m’être attribué » ou « qu’est-ce qui a bien pu jouer en ma défaveur ? ». La chance ou la malchance ont peu de chose à voir dans la plupart de ces situations, il faut plutôt chercher du côté de l’image véhiculée sur vous et qui vous a joué un vilain tour. Celle-ci n’a pas été créée de toutes pièces ; vos attitudes ou vos comportements ont été interprétés. Faute de savoir quelle action mener pour changer l’effet pervers généré par ces images, chacun est condamné à subir leurs effets toute sa vie.
Votre image
Bien sûr, il est possible de poser la question à un proche de confiance : « peux-tu me dire quelle image j’ai auprès des gens de mon environnement ? Que disent-ils de moi ? ». Comme il s’agit de quelqu’un qui vous veut du bien, son retour sera sympathique, en excluant les informations qui pourraient trop vous impacter. C’est normal, vos amis n’ont pas envie de vous blesser. Même si le retour approche la réalité, celle-ci est édulcorée pour être moins violente à votre égard. Il en résulte que vous ne disposez pas de l’information qui vous serait si utile.
Les réputations
Vous avez tous entendu ces réputations collées aux gens :
Ah ! celui là quand on n’a besoin de rien, on est servi tout de suite.
Lui ? il est imprévisible.
Untel est un besogneux.
Celui-là il ne pense qu’à sa pomme.
Quant à lui, il est aux abonnés absents.
C’est un inconséquent.
Les personnes affublées de la sorte n’en savent rien et n’en sauront jamais rien de toute leur vie. Un collaborateur a-t-il dit à son manager qu’avec lui il avait la sensation de ne pas grandir ? Non, bien sûr. Qui viendrait annoncer ces images négatives ? Et cependant vous imaginez tout de suite les conséquences provoquées par ces images sur le quotidien de ces personnes. Cette condamnation à perpétuité n’est pas acceptable.
Ces réputations sont-elles justifiées ? En partie oui car elles partent d’observations et en partie non car ce sont des interprétations. Mais l’image se répand, sans que l’intéressé n’en sache rien. Enrayer ce processus, revient à mettre davantage la chance de son côté. C’est ce que propose notre 3ème livre consacré au développement personnel avec PCM® (Process Communication Model) « Lâchez les comportements qui vous jouent des tours » chez Eyrolles.
En plus de 20 ans de coaching et plus de 10.000 heures en séances, Sylvie et moi avons utilisé PCM. A partir des pistes trouvées, nos clients ont expérimenté l’efficacité des actions préconisées. Cette base de connaissance a servi de matière à la conception de ce livre. En coaching de managers on est vite confronté à des situations où l’image du client a joué un rôle. La plupart du temps, le coaché n’a pas mesuré l’importance de la réputation qui lui est faite, et ne s’en préoccupait donc pas. Grâce à la grille de lecture du PCM, le coach et le coaché qualifient l’image probable que celui-ci génère. En reconstituant des brides d’éléments, le coaché confortent l’identification.
70% du temps en stress
Taibi Kahler, le concepteur de PCM, précise que selon les situations, nous sommes en 1er degré de stress environ 70% du temps. Bien que les comportements de ce 1er degré de stress soient assez discrets, il faut tenir compte qu’ils occupent 70% du temps. Les autres en déduisent que ce comportement sous stress fait partie de notre personnalité. A partir de leur interprétation les images se façonnent. Ces petits travers confortent celle qui vous est accolée.
PCM a déterminé qu’en chacun de nous, nous avons 6 personnalités. Certaines de ces personnalités sont plus actives que d’autres. Ce sont elles dont le 1er degré de stress est la source des images qui nous poursuivent. Nos expériences en coaching et notre démarche en Recherche et Développement nous ont fait découvrir celles que chaque personnalité avait beaucoup de probabilités de se voir attribuer.
Dans ce livre, pour chaque personnalité 7 situations, où ces 1ers degrés de stress s’expriment, sont décrites. On y voit leurs effets pervers et l’image que les intéressés subissent. Le lecteur se reconnaissant dans ces effets indésirables, disposera de pistes d’actions suggérées faciles à mettre en œuvre. Elles ont pour but de casser les images négatives. Ce sont de petites actions car le plus souvent, rien que la prise de conscience s’avère suffisante pour que le comportement se corrige de lui-même. Le but est de ne plus alimenter ces images. Dans un 1er temps, elles perdront de leur puissance ; elles finiront par s’éteindre d’elles-mêmes. Cela reviendra à inviter la chance à être davantage à vos côtés.
Comment les autres vous voient-ils ?
Il est probable que vous ne connaissiez pas l’image que vous attribue votre entourage. Ces images ont des conséquences bénéfiques ou désastreuses, ça dépend… Comme vous les ignorez, vous ne menez aucune action pour les prendre en considération. La qualité de votre vie se retrouve ballotée comme si vous la jouiez à la roulette russe.
Votre chance
Quelquefois il vous arrive de vous dire : « sur ce coup-là je n’ai pas eu de chance ! » ou bien « ce n’est pas juste, cela aurait dû m’être attribué » ou « qu’est-ce qui a bien pu jouer en ma défaveur ? ». La chance ou la malchance ont peu de chose à voir dans la plupart de ces situations, il faut plutôt chercher du côté de l’image véhiculée sur vous et qui vous a joué un vilain tour. Celle-ci n’a pas été créée de toutes pièces ; vos attitudes ou vos comportements ont été interprétés. Faute de savoir quelle action mener pour changer l’effet pervers généré par ces images, chacun est condamné à subir leurs effets toute sa vie.
Votre image
Bien sûr, il est possible de poser la question à un proche de confiance : « peux-tu me dire quelle image j’ai auprès des gens de mon environnement ? Que disent-ils de moi ? ». Comme il s’agit de quelqu’un qui vous veut du bien, son retour sera sympathique, en excluant les informations qui pourraient trop vous impacter. C’est normal, vos amis n’ont pas envie de vous blesser. Même si le retour approche la réalité, celle-ci est édulcorée pour être moins violente à votre égard. Il en résulte que vous ne disposez pas de l’information qui vous serait si utile.
Les réputations
Vous avez tous entendu ces réputations collées aux gens :
Ah ! celui là quand on n’a besoin de rien, on est servi tout de suite.
Lui ? il est imprévisible.
Untel est un besogneux.
Celui-là il ne pense qu’à sa pomme.
Quant à lui, il est aux abonnés absents.
C’est un inconséquent.
Les personnes affublées de la sorte n’en savent rien et n’en sauront jamais rien de toute leur vie. Un collaborateur a-t-il dit à son manager qu’avec lui il avait la sensation de ne pas grandir ? Non, bien sûr. Qui viendrait annoncer ces images négatives ? Et cependant vous imaginez tout de suite les conséquences provoquées par ces images sur le quotidien de ces personnes. Cette condamnation à perpétuité n’est pas acceptable.
Ces réputations sont-elles justifiées ? En partie oui car elles partent d’observations et en partie non car ce sont des interprétations. Mais l’image se répand, sans que l’intéressé n’en sache rien. Enrayer ce processus, revient à mettre davantage la chance de son côté. C’est ce que propose notre 3ème livre consacré au développement personnel avec PCM® (Process Communication Model) « Lâchez les comportements qui vous jouent des tours » chez Eyrolles.
En plus de 20 ans de coaching et plus de 10.000 heures en séances, Sylvie et moi avons utilisé PCM. A partir des pistes trouvées, nos clients ont expérimenté l’efficacité des actions préconisées. Cette base de connaissance a servi de matière à la conception de ce livre. En coaching de managers on est vite confronté à des situations où l’image du client a joué un rôle. La plupart du temps, le coaché n’a pas mesuré l’importance de la réputation qui lui est faite, et ne s’en préoccupait donc pas. Grâce à la grille de lecture du PCM, le coach et le coaché qualifient l’image probable que celui-ci génère. En reconstituant des brides d’éléments, le coaché confortent l’identification.
70% du temps en stress
Taibi Kahler, le concepteur de PCM, précise que selon les situations, nous sommes en 1er degré de stress environ 70% du temps. Bien que les comportements de ce 1er degré de stress soient assez discrets, il faut tenir compte qu’ils occupent 70% du temps. Les autres en déduisent que ce comportement sous stress fait partie de notre personnalité. A partir de leur interprétation les images se façonnent. Ces petits travers confortent celle qui vous est accolée.
PCM a déterminé qu’en chacun de nous, nous avons 6 personnalités. Certaines de ces personnalités sont plus actives que d’autres. Ce sont elles dont le 1er degré de stress est la source des images qui nous poursuivent. Nos expériences en coaching et notre démarche en Recherche et Développement nous ont fait découvrir celles que chaque personnalité avait beaucoup de probabilités de se voir attribuer.
Dans ce livre, pour chaque personnalité 7 situations, où ces 1ers degrés de stress s’expriment, sont décrites. On y voit leurs effets pervers et l’image que les intéressés subissent. Le lecteur se reconnaissant dans ces effets indésirables, disposera de pistes d’actions suggérées faciles à mettre en œuvre. Elles ont pour but de casser les images négatives. Ce sont de petites actions car le plus souvent, rien que la prise de conscience s’avère suffisante pour que le comportement se corrige de lui-même. Le but est de ne plus alimenter ces images. Dans un 1er temps, elles perdront de leur puissance ; elles finiront par s’éteindre d’elles-mêmes. Cela reviendra à inviter la chance à être davantage à vos côtés.
Christian Becquereau