Mon amie Catherine venait de m’adresser l’injonction « lâche prise ». Je lui rétorque que ce conseil m’a toujours rendu plus qu’indifférent et m’a même bloqué. Avec le naturel qui lui est propre, elle me répond « c’est vrai que je lui préfère l’appellation ‘laisse-faire’ ». Sans trop savoir pourquoi, sa remarque me libère. Je trouve cela génial. Ça me parle t’autant plus que j’ai décodé dans mes livres consacrés à Process Communication le style de management « délégatif » que Taibi Kahler a renommé « laisser-faire ».
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